Je formulerai tout d’abord cinq remarques sur la forme.
Premièrement, pourquoi débattre en urgence de questions aussi importantes que la représentativité syndicale ?
Deuxièmement, concernant l’organisation du débat, je ne comprends pas pourquoi – et les présidents qui se sont succédé ne sont nullement en cause –, vendredi dernier, on a voulu nous faire travailler le plus tard possible, songeant même un moment à nous faire siéger la nuit, alors qu’il aurait été plus simple de reporter dès la fin de l’après-midi la suite de la discussion à aujourd’hui.