Vous avez évoqué la toxicité potentielle des huiles essentielles et le fait que la commercialisation en tant que complément alimentaire offre davantage de souplesse qu'une mise sur le marché en tant que médicament. Ne faudrait-il pas, dans ce cas, mettre en place une forme d'autorisation de mise sur le marché, même allégée, pour ces compléments ? Que pensez-vous par ailleurs de la reconnaissance de la pharmacopée traditionnelle outre-mer ?