Il y a visiblement un déficit de formation des médecins en la matière. Seriez-vous favorables à ce que ces derniers, dans le cadre de leur cursus universitaire, suivent un enseignement sur les plantes médicinales et les huiles essentielles ?
Cela été dit, le patient n'ose pas toujours dire à son médecin traitant qu'il a recours aux plantes médicinales, à l'homéopathie, à des compléments alimentaires, y compris quand il est atteint d'une pathologie grave. Le médecin, lui, ne pense pas toujours à poser la question. Si les médecins généralistes sont évidemment en première ligne, les spécialistes sont eux aussi concernés, notamment les oncologues car de nombreux patients atteints d'un cancer y ont recours.