Je comprends ce que vous dites, mais les personnes que nous avons auditionnées n'envisagent aucunement de travailler de façon isolée. Il est pour elles absolument nécessaire de faire le lien avec le monde de la pharmacie et de la médecine. Ne l'oublions pas, il est avant tout question de bien-être, de prévention, d'accompagnement. En France, dans le domaine de la cancérologie, il arrive que des herboristes accompagnent des malades, mais ils le font en liaison avec les médecins. De ce fait, le médecin est maître du jeu. Cette manière d'évoluer pourrait-elle constituer, selon vous, une perspective d'avenir, sachant que la demande sociétale est extrêmement forte ?