J'avoue être un peu étonnée par cette remarque : « Mais où sont les cadavres ? » J'espère que l'on n'attendra pas d'avoir des cadavres pour alerter sur les difficultés rencontrées. Il est arrivé qu'un oncologue, qui s'étonnait de ne pas comprendre pourquoi le traitement délivré à son patient sous chimiothérapie ne fonctionnait pas, finisse par découvrir que ce patient avait recours à la phytothérapie. Nous ne sommes pas loin du cadavre non plus, et je me permets de le dire également avec le sourire.
C'est parce que nous avons, en France, un système régulé que la sécurité est garantie.
En faisant référence au Mediator, vous semblez opposer la chimie au naturel.