Faire appel à l’émotion est un peu facile, madame la ministre. Il n’y a pas, d’un côté, ceux qui vibrent pour les jeunes en difficulté et, de l’autre, les ignorants qui ne supportent pas la moindre innovation. Mais où sommes-nous ? Ni le rapporteur, ce dont je m’étonne, ni vous n’avez écouté nos arguments : je n’ai fait qu’évoquer les dérives possibles.
Nous ne vivons pas dans le monde des Bisounours, nous ne sommes ni de grands naïfs ni des imbéciles. Les dérives existent !