Intervention de Pierre Cabaré

Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques — Réunion du 28 juin 2018 à 10h00
Échanges avec mme nathalie carrasco chimiste enseignante-chercheuse au laboratoire atmosphères milieux observations spatiales latmos prix irène joliot-curie 2016 catégorie « jeune femme scientifique » ; mme christine clerici présidente de l'université paris-diderot professeure en physiologie membre du conseil scientifique de l'office ; mme isabelle collet présidente de l'association de recherche pour le genre en éducation et formation argef ; mme maria j. esteban mathématicienne directrice de recherche au cnrs présidente de l'international council for industrial and applied mathematics iciam ; mme claudine hermann présidente de la plateforme européenne des femmes scientifiques epws ; mme hélène morlon mathématicienne du vivant directrice de recherche au cnrs prix irène joliot-curie 2017 catégorie « jeune femme scientifique » ; mme anne-lucie wack présidente de la conférence des grandes écoles cge directrice générale de montpellier supagro institut national d'études supérieures agronomiques membre de l'académie des technologies

Pierre Cabaré, vice-président de la Délégation de l'Assemblée nationale :

Mme Anne-Lucie Wack, vous êtes ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts, ingénieure agronome et ingénieure du génie rural. Vous êtes par ailleurs docteure et habilitée à diriger des recherches en génie des procédés. Directrice générale de Montpellier SupAgro depuis 2013, vous avez été élue à la présidence de la conférence des grandes écoles en 2015 et renouvelée en 2017. Vous avez également une forte présence internationale puisque vous êtes par exemple membre du comité de pilotage du programme international pour le leadership des femmes scientifiques africaines. Au niveau national, vous êtes membre de l'Académie des Technologies et de l'Académie d'Agriculture et, depuis 2014, vous siégez au comité pour l'élaboration de la stratégie nationale de l'enseignement supérieur. J'aimerais vous interroger plus spécifiquement sur la place des femmes dans les cursus scientifiques des grandes écoles, qu'il s'agisse des étudiantes ou des enseignantes. Par ailleurs, au vu de votre expérience, avez-vous identifié de bonnes pratiques dont nous pourrions nous inspirer ?

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion