Je défends personnellement la méthode des quotas, auxquels je ne croyais pourtant pas. Dans le domaine politique, il est évident qu'ils ont moins d'importance que dans le secteur scientifique, je le concède volontiers. Mais si nous n'avions pas eu les quotas, nous n'aurions pas bougé. Les quotas ont changé les comportements. Le voeu que je formule, c'est qu'il y ait ensuite une relève spontanée et non pas une relève obligée.