M. Ouzoulias a demandé pourquoi tous les chefs d’établissement n’appliquaient pas la loi. C’est qu’ils font parfois, eux aussi, de la politique… Adopter cette proposition de loi serait, à ce titre, un acte fort. M. Brisson a raison de dire que l’école doit être sanctuarisée : ce n’est pas un lieu où l’on joue, c’est un lieu où l’on travaille, où l’on apprend. Poser clairement l’interdiction dans la loi permettrait de mettre fin à toutes ces conduites d’évitement que l’on peut observer : si cela permet de garantir son effectivité, pourquoi s’en priver ?