Au cours de ces débats, nous avons vu revenir à de multiples reprises le besoin impératif de coopération internationale. J'ai été frappé par le fait que seul M. Aït Abderrahim parle véritablement de politique européenne, au sens de la Commission européenne. Il semble que cette dimension soit absente de la tête de ceux qui développent les projets, et des centres de décision majeurs sur la question.
Cette insistance sur une nécessaire coopération internationale, notamment à l'échelle continentale, nous conduit tout naturellement à la deuxième table ronde, présidée par ma collègue Émilie Cariou.