Vous avez évoqué la nécessité de mener une action énergique sur la mise en place de méthodologies et de protocoles ambitieux. Sur un sujet comme celui-ci, faisant intervenir des expertises aussi bien biologiques qu'issues des sciences humaines et sociales, disposez-vous, à l'Inserm, des compétences suffisantes, ou faudrait-il élargir le champ, et mettre en place un projet de coopération entre différentes agences ? Je vous propose de garder ces questions en réserve, et d'y répondre ultérieurement.