Je souhaiterais formuler une remarque dans la perspective du débat : vous évoquiez des moyens assez importants alloués à l'Agence nationale des fréquences et à l'Anses, et ayant donné lieu à la mise en oeuvre d'études et de programmes de recherche. Nous disposons du rapport de l'Anses faisant état des progrès restant à accomplir pour comprendre ce phénomène. Mais comment se fait-il que, malgré tous les moyens mis en oeuvre, nous n'ayons pas de corpus suffisant pour trancher ?