Madame la secrétaire d’État, je vous ai demandé qui paierait, comment et à quel rythme. Je n’ai aucune réponse.
Je constate et je déplore, comme votre rapporteur général de l’Assemblée nationale sur d’autres sujets, la grande imprécision relative aux conséquences des décisions fiscales que vous sortez du chapeau.