J’abonde dans le sens de Mme la présidente de la commission : nous sommes démunis face à ces situations catastrophiques qui apparaissent à la suite soit d’une sécheresse importante, soit d’une alternance de périodes de sécheresse et de pluie.
Je ne vois pas d’autre solution que le mécanisme proposé. Une autre possibilité serait de signaler les terrains marneux et argileux dans les PLU, mais ce serait trop systématique, car les mouvements de terrain peuvent ne pas être de même nature à quelques mètres de distance.