S'agissant du projet de loi sur les violences, le fait d'être co-rapporteure de la délégation a parfois été complexe compte tenu des positions de mon groupe politique. J'estime qu'il est très important que notre famille politique participe à la délégation. Beaucoup de choses nous rassemblent, quelles que soient nos appartenances politiques, mais nous avons vécu en séance, comme le disait notre présidente, des moments compliqués. Nous ne pourrons pas toujours être d'accord, c'est un fait. C'est pourquoi je suggère à l'avenir d'éviter les sujets qui risquent de nous mener à des divisions ou des désaccords.