Je ne regrette pas notre travail sur les violences, car on pouvait difficilement choisir un autre sujet cette année. Malgré les avancées constatées depuis l'automne 2017, on déplore encore des faits très graves, tels que ceux qui se sont produits dans la « fan zone » ce week-end.
J'ai vraiment envie que nos idées progressent à droite, sans être stigmatisées et caricaturées. À cet égard, la « victimisation » des femmes, telle qu'elle a pu ressortir au cours de nos travaux sur les violences, peut poser problème à la longue. C'est pourquoi je serais d'avis de nous emparer de thèmes « positifs » mettant en valeur l'énergie des femmes, par exemple en lien avec la thématique du travail.