Colonel Lionel Lavergne, chef du groupe de sécurité de la présidence de la République :
Effectivement.
Les propos de M. Benalla sur les frictions et les non-dits n'appartiennent qu'à lui. Commandant le GSPR depuis un an et demi, s'il y avait eu des soucis en son sein, j'en aurais eu des retours.