Il a demandé, et je vous prie de reprendre les propos qu'il a tenus devant cette commission, à la préfecture de police d'analyser cette demande dans les règles de droit. Pour mon cas personnel, dans le cas d'espèce, cette demande de permis de port d'arme, fondée sur des questions de sécurité - il faut donc les différencier d'une protection personnelle -, n'a pas transité par mes mains. C'est normal, puisque les questions de sécurité sont traitées directement sous l'autorité du directeur de cabinet. Je ne peux donc pas vous répondre plus avant. Ce que je puis vous dire, en tant que chef de cabinet, ce sont les missions que j'ai confiées à M. Benalla.