S'agissant, des agences, nous avons peut-être mal choisi le terme. Il ne renvoie pas à une privatisation, ces agences ne sortiraient pas de la division d'un ministère, mais elles auraient une équipe avec un mandat dans la durée, des objectifs, une visibilité sur les moyens annuels et bénéficieraient d'une fongibilité des crédits, sans autonomisation juridique. La direction resterait au sein de l'administration centrale mais aurait la liberté sur les moyens de mise en oeuvre de la politique. Le mode de management des directeurs d'administration centrale est actuellement très contraint par le fonctionnement quotidien. Et il faudrait supprimer le contrôle a priori.