Monsieur le ministre d’État, il n’est pas acceptable que les États européens surfent avec le droit de la mer, lequel est très strict.
La question est : où vont débarquer ces naufragés ? Il s’agit non pas de négocier une nouvelle directive européenne, mais de sauver des vies, des vies en danger. Or ce navire est le seul qui reste.
Nous avons une ambition pour notre pays : qu’il soit un « premier de cordée » en matière d’humanisme et de fraternité, pas seulement en paroles, mais aussi en actes !