M. Alain Joyandet. Monsieur le ministre d’État, donc, tout va bien… Pourtant, quand je croise un gendarme au volant de son véhicule, qui me dit : « Je rentre à la caserne, parce que j’ai déjà dépassé les 100 kilomètres auxquels j’ai droit aujourd’hui », je me dis que, décidément, tout ne va pas bien.