Je m’inquiète d’autant plus que, j’ai le regret de vous le dire, madame la secrétaire d’État, vous n’avez pas répondu à la question que je vous ai posée.
Les coopératives et autres, pour vous, tout va bien ! Vous m’avez parlé de millions ; je vous ai parlé, moi, de femmes et d’hommes en détresse, de la fin du maraîchage, de la viticulture ou encore de l’arboriculture.
Monsieur le Premier ministre, l’erreur est facile à corriger. Il faut se remettre autour d’une table avec les organisations professionnelles agricoles, qui y sont prêtes. Vous le savez très bien : vous n’êtes pas loin d’un accord avec elles.
Répondre macroéconomie à une question sur les territoires ruraux, c’est ne pas répondre à la question. Aujourd’hui, il y a quelques mois à tenir. Le CICE et le TODE, c’est la double peine ! Monsieur le Premier ministre, je crois possible que votre écoute pour les agriculteurs soit positive.