Nous allons fonctionner avec les alliances, ainsi que le prévoient la loi de 2010 et le décret de 2011, comme nous fonctionnons avec les instituts français. Il ne saurait y avoir d'OPA. Nous sommes une force de proposition, d'impulsion, de projet, de ressources. Nous ne contraignons personne. Certes, travailler avec nous peut donner accès à des financements, mais nous n'entendons imposer aucune contrainte, et susciter, plutôt, l'envie de s'investir sur des projets.
La situation sera désormais plus claire : l'Institut sera le seul interlocuteur en matière de soutien aux centres de cours, de formation des personnels, de circulation artistique et culturelle, domaine dans lequel la montée en puissance de la Fondation, ces dernières années, provoquait une redondance des financements.
Une partie des crédits supplémentaires dont nous allons bénéficier cette année sera consacrée à la montée en puissance de ce que nous allons proposer aux alliances. Par exemple, dans la circulation de projets artistiques, nous allons développer des collections rassemblant les plus grands noms de la scène française, qui seront proposées aux scènes des alliances et instituts français. Cela nous permettra d'unifier notre action, sans contraindre personne.