Je suis très heureux de me retrouver devant vous aujourd'hui. Il s'agit de ma deuxième audition devant votre Commission en moins de 18 mois, témoignant de l'intérêt que porte le Sénat à ce pays et la reconnaissance de son rôle dans la région. La Turquie est plus que jamais sous les projecteurs de l'actualité avec les élections du 24 juin prochain. Avant de revenir sur les principaux enjeux actuels de la relation bilatérale, je souhaite dresser tout d'abord un tableau de la situation en Turquie.