Le supercalculateur fournira des informations que les experts devront exploiter, puis diffuser. Avec la diminution du nombre d'agents, ces informations risquent d'être moins bien relayées.
Une récente étude de France Stratégie prouve que les services rendus par Météo-France ont un bénéfice/coût de 4 pour 1. Ne pourrait-on s'appuyer sur cette étude pour maintenir les effectifs sur le terrain ?
Une étude sur les départements alpins a été commandée au Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD). Vous nous avez dit qu'il n'y aurait plus que deux centres dédiés à la montagne. La présence sur ces territoires n'est-elle pas indispensable ?
Êtes-vous convaincu du bien-fondé de la future organisation de Météo-France ?