Ma question porte sur la culture de l'évaluation. Monsieur le secrétaire général, procéder à ces baisses devient de plus en plus préjudiciable si nous voulons préserver notre influence. Nous devrions reprendre certaines pratiques anglo-saxonnes comme la vérification systématique de chaque suppression par rapport aux priorités définies. Est-ce un critère de choix dans un contexte très difficile, y compris pour les grandes ambassades ?