Il me reste à vous remercier d'avoir bien voulu nous dresser un état des lieux exhaustif de la situation de la Nouvelle-Calédonie au regard des risques naturels majeurs.
Je retiens ce principe clef, exposé par le directeur de cabinet du président du gouvernement : les outre-mer doivent d'abord compter sur eux-mêmes avant d'espérer de l'aide extérieure.
Je conclurai en rappelant qu'aux termes des visioconférences que nous avons menées dans le cadre de cette étude, il apparaît que l'implication de l'État dans la gestion de la crise naturelle majeure aux Antilles est unanimement saluée. Notre démarche ne vise pas à incriminer mais au contraire à tirer les leçons du passé pour améliorer l'anticipation des phénomènes naturels futurs.