J'ajouterai que la rapidité de la prise d'une telle décision est d'importance vitale, en particulier lorsque cela se joue sur une île. J'ai moi-même eu l'occasion de constater la lenteur des dispositifs de l'ARS lorsque celle-ci avait décrété, quinze jours après les prélèvements, que l'eau était d'assez bonne qualité pour autoriser la baignade. Or, cela engage la responsabilité des élus locaux, qui ne disposent pas d'informations actualisées.