Monsieur le rapporteur, il existe aujourd’hui 3 200 conseillers d’insertion et de probation. Aux termes de la loi de programmation que je vous soumets, leur nombre sera porté à 4 500. Voilà pourquoi, dans la logique du projet que je défends, il paraît souhaitable, même nécessaire, que les conseillers d’insertion et de probation puissent réinvestir le champ présentenciel.