Là encore, il s’agit de protéger les victimes de violences conjugales, de viols incestueux ou d’agressions sexuelles à caractère incestueux. J’entends vos propos, madame la garde des sceaux, mais il importe que les mesures d’éloignement ou de placement sous surveillance électronique de l’auteur des faits s’accompagnent de l’attribution d’un téléphone d’urgence à la victime.