Tout a été dit et je voudrais simplement insister sur deux points. Tout d'abord, je rappellerai que, contrairement aux clichés paradisiaques, nos îles sont vulnérables et subissent de plein fouet les dérèglements climatiques, sans compter les séismes et, aux Antilles, les sargasses. Le POSEI a permis le développement de l'agriculture outre-mer et sa diversification. Le taux de couverture des besoins de la Martinique en produits frais atteint aujourd'hui 20 %. Si le POSEI se réduit, c'est l'agriculture qui disparaitra.