La mention sur la carte Vitale de l’aidant est une option intéressante. Néanmoins, cette mesure n’aura de sens que s’il peut exister un mécanisme coordonné entre les différents acteurs, notamment les professionnels médico-sociaux concernés, permettant alors de déclencher automatiquement une alerte et d’assurer une prise en charge de la personne aidée.
Ce sujet est plus complexe qu’il n’y paraît. Le Gouvernement s’en remet donc à la sagesse du Sénat.