Monsieur le ministre, les discours sont l’apanage du Président de la République.
Il est très fort pour faire des discours et pour recueillir l’approbation des auditoires auxquels il les délivre. Mais où sont les actes ? Que va devenir notre Europe ? Nous ne pouvons pas opposer le nationalisme et le fédéralisme.
Il faudra des actes pour reconstruire cette Europe, et beaucoup plus que des paroles.