Lors des débats de la LPM, j'ai soulevé la question de l'évolution de nos stocks de munitions. Ceux-ci sont-ils au niveau, entre un engagement opérationnel fort, et la nécessité d'assurer également l'entraînement et la préparation opérationnelle ? A contrario, y aura-t-il une moindre consommation des munitions avec la diminution des opérations contre Daech ?
La LPM a renvoyé après 2025 la question de l'équipement en hélicoptères interarmées légers (HIL), comment résoudre les conséquences de l'obsolescence du PUMA ?