Je crains que l'Assemblée nationale n'en revienne à son texte. Dès lors, on perdrait la nécessaire souplesse quant à la durée de l'arrêt de travail. De plus, il ne faudrait pas que l'initiative sénatoriale soit mal comprise et que l'on retienne à tort que notre institution n'a pas voulu accorder aux indépendantes les huit semaines de congé que leur avait proposées l'Assemblée.