En tant que co-rapporteure du rapport sur les violences faites aux femmes handicapées, dans la perspective de notre table ronde du 6 décembre, il me paraît important que la délégation puisse travailler sur le sujet des violences subies par les femmes handicapées au travail. En effet, ces femmes sont soumises à une double peine, car discriminées par leur genre et leur handicap ; elles connaissent une moindre progression que leurs collègues masculins également handicapés. Nos travaux pourraient le cas échéant s'étendre également au vaste champ des discriminations liées au handicap, notamment dans les transports ou à l'école.