Monsieur le ministre, je vous félicite de vos bonnes lectures et vous engage à poursuivre jusqu’au bout ce qui est écrit dans ce livre et dans un rapport qui a été remis, à l’époque, au Premier ministre.
Tel Diogène qui cherche un homme une lanterne allumée sur la place en plein midi, je cherche les 300 millions d’euros, je l’avoue ! Le candidat Emmanuel Macron s’était engagé à octroyer, après analyse, 4, 5 milliards d’euros aux outre-mer pour corriger le mal-développement, dont un milliard pour la Guyane, dans une lettre que tous les électeurs ont reçue, et à raison de sa population 4 % du Grand plan d’investissement.
Dans les quatre ans qui restent, vous allez prendre à peu près un milliard d’euros, en faisant fi d’une notion constitutionnelle qui est l’adaptation, où la solidarité nationale ne jouera plus et où l’outre-mer financera l’outre-mer.