Le doublement du nombre d'éoliennes posera un problème d'acceptation sur nos territoires. Dans certaines zones, on atteint la saturation, et il faudra revoir des implantations parfois anarchiques, qui aboutissent à ce qu'on voie des éoliennes dans toutes les directions ! Le débat sur l'IFER revient tous les ans. Le territoire le plus impacté est évidemment celui de la commune qui accepte l'implantation d'une éolienne. De ce point de vue, 20 % est un minimum. Nos amendements accroissant ce pourcentage ont toujours été rejetés. Et le département touche 30 %, ce qui est surtout un effet d'aubaine...