Je partage l'essentiel des positions exprimées par notre rapporteur pour avis. Nous avons besoin de clarté sur la stratégie de l'État dans la gestion de ses participations, et je ne songe pas seulement à la stratégie industrielle objet du rapport de nos collègues Alain Chatillon et Martial Bourquin. Dans les privatisations annoncées, on ne perçoit pas l'intérêt du mécanisme retenu, qui aboutit à réduire le rendement... Nous voterons pour notre part contre les crédits du CAS. Je partage aussi les propos tenus sur les pôles de compétitivité, si importants pour la présence industrielle dans nos territoires éloignés des métropoles.