J'avais posé une question au Gouvernement à ce sujet il y a quelques mois : on privatise les bénéfices et on nationalise les déficits, ceux de la SNCF par exemple ! Il est urgent de soutenir le développement et l'innovation, mais plutôt par un emprunt payé par les dividendes des fleurons. Le coût serait nul pour l'État et il resterait l'heureux propriétaire de ces entreprises...