En 2009, j'ai rapporté le cas d'une entreprise qui a reçu 3 millions d'euros de CIR en mai et qui a fermé son site en juin : c'est à cette occasion que Christian Estrosi a parlé de patrons voyous. J'avais proposé par amendement qu'il soit possible de revenir sur le versement de CIR sur trois ans, pour ne pas financer par des fonds publics des groupes qui ont un tel comportement. Le CIR est stratégique, mais il faut l'affiner.