L'utilisation de GLI est tout à fait exceptionnelle. En dix-huit mois à la préfecture, j'ai donné mon accord seulement par deux fois : le 24 novembre et le 1er décembre derniers, car elles étaient, selon les forces de l'ordre sur le terrain, le seul moyen, compte tenu des menaces et du contexte, de dégager les lieux, soulager la pression et se protéger.