Sur l'interdiction, nous étudions de nouvelles formalisations juridiques, qui ne sont pas arrêtées. S'agissant des modes opératoires, la situation n'est jamais figée : les modalités d'intervention des forces de l'ordre seront revues en profondeur afin de faire face à ce qui se présentera. Rien n'indique en cet instant qu'il y ait un risque majeur. Il faut prévoir, mais ne pas anticiper systématiquement le pire. J'ai donné des consignes à tous ceux qui m'accompagnent, leur demandant de tout faire pour que les événements de samedi dernier ne se reproduisent pas.