Ayant déjà posé certaines questions auxquelles vous avez d'ailleurs répondu au cours de l'audition, je n'aurai que deux questions complémentaires pour mes collègues des universités - je dis collègues parce que même si je suis aujourd'hui député, donc en situation de disponibilité, je me considère comme faisant encore partie de la grande famille universitaire.
Je voudrais me féliciter de ce qui s'est passé parce que les témoignages que vous venez de nous présenter montrent bien qu'il fallait améliorer la qualité de l'orientation. N'oublions jamais, et je n'aurai de cesse de le répéter, qu'une orientation réussie est le premier facteur de la réussite. Je parle d'une orientation choisie et éclairée et, visiblement, la démarche engagée autour de Parcoursup a permis d'améliorer à la fois l'éclairage qu'on apporte sur l'orientation et sa qualité. On ne peut que s'en féliciter.
Le traitement de si nombreux dossiers, notamment dans les universités et dans certaines filières, n'a pas dû être toujours très simple. Je voulais savoir si ont été mises en oeuvre des démarches plus ou moins « algorithmiques » au niveau local, pour automatiser en partie le traitement de l'ensemble des dossiers.
Deuxième question : y a-t-il aujourd'hui encore des formations qui demeurent hors plateforme ? Est-ce souhaitable ? Qu'est-il prévu en la matière ?