En ce qui concerne l'exploitation, le financement est partagé entre la Confédération, qui investit un milliard d'euros, et les cantons à concurrence de leurs budgets respectifs. Il est vrai qu'en Suisse, la qualité de service est très élevée.
Cela étant, en Suisse, nous avons un « Monsieur Prix », qui contrôle les prix et dispose d'un droit de recommandation sur les prix. À chaque hausse des prix de transports, qui sont augmentés de manière nationale, un débat s'instaure. Il est en général difficile d'augmenter les prix sans arguments valables. Les deux dernières augmentations réalisées étaient clairement occasionnées par la hausse du prix des sillons, prévue pour financer les infrastructures votées en 2014.