Le taux d'occupation des véhicules est de 1,3 ou 1,4 personne aux heures de pointe selon les agglomérations. Il existe donc des capacités certaines d'accueil dans les véhicules, qu'il convient de traduire en réalité. Le moyen d'y parvenir importe peu, finalement. Si une indemnisation est mise en place, la mesure sera heureuse pour ceux qui en bénéficieront, mais je ne pense pas que les covoitureurs informels cesseront de covoiturer.