Je suis assez mal à l'aise sur ce sujet. Pendant trois ans, j'ai eu en tant que vice-président de la collectivité la responsabilité de l'aménagement du territoire. À l'époque, j'avais demandé l'aide de l'État et la préfète Anne Laubiès me l'avait apportée. Il a fallu Irma pour montrer que la politique que nous menions était la bonne et que la prise en compte des risques, qui nous était reprochée, était justifiée.