Au cours d’un déplacement récent en Chine, j’ai pu visiter une université de province. Dans le département de français de celle-ci, les étudiants chinois sont présentés comme les futurs cadres expatriés vers l’Afrique francophone. Les frais d’inscription universitaires demeurent modérés et le niveau est très bon ; le système de bourse fonctionne bien.
Il se trouve par ailleurs que je reviens de Djibouti, où les Chinois sont omniprésents – ils font même tourner le centre culturel français. Une fois les compétences acquises, ils se débrouilleront sans nous, en français, directement avec les Djiboutiens ; voilà la réalité…