Ce point doit être mis sur la table si l'on croit au principe de fraternité. À Bamako, j'ai expliqué à mes interlocuteurs que le problème était insoluble si la population continuait à doubler tous les trente ans.
Par ailleurs, la planète peut nourrir l'ensemble de la population, à condition que l'on cesse de manger de la viande tous les jours. Si l'on privilégie la qualité par rapport à la quantité, comme cela s'est passé pour le vin, le revenu des agriculteurs sera tout de même correct.