C'est dommage. Au-delà du groupe de suivi du Brexit, notre commission aura toute légitimité à apporter des contributions pour la préparation du Conseil européen de Sibiu. Peut-être y verrons-nous plus clair au sujet du Royaume Uni, le 29 janvier. Il faudra que nous regardions dans le « paquet Tusk » certaines avancées qui avaient été négociées par David Cameron. La crispation à laquelle ont donné lieu le référendum puis le vote de juin 2016 n'est qu'une manifestation de ce qui peut se produire dans d'autres pays, à l'image des « gilets jaunes » ici ou de l'arrivée au pouvoir d'une coalition populiste en Italie.